Coup de Coeur : Pâques 2018 au Prince de Galles, les bonbonnières de chocolat du chef pâtissier Nicolas Paciello



A l'occasion de Pâques, les maîtres chocolatiers sortent le grand jeu. Les plus belles créations cacaotées, placées sous le signe de la gourmandise, rivalisent d'inventivité pour séduire petits et grands. Dans les plus prestigieux établissements de la Capitale, les chefs pâtissiers laissent libre court à leur fantaisie. Les traditionnels œufs, poules, lapins font place à des créations couture au design élégant, aux parfums originaux. Et ce serait bien dommage de ne laisser qu'aux enfants ces douceurs raffinées. A l'Hôtel Prince de Galles, Stéphanie LeQuellec, chef exécutif du restaurant du Prince de Galles, La Seine, et le chef pâtissier Nicolas Paciello ont imaginé cette année une bonbonnière rutilante dans un esprit Art déco, oeuvre pascale au doux parfum d'enfance, véritable pièce d'orfèvrerie gourmande couverte d'or et d'argent façon œuf Fabergé. Nicolas Paciello a révélé concomitamment la nouvelle collection de bonbons de chocolat Prince de Galles, déclinés sur le fil de ses quatre motifs signature, vanille, matcha, sarrasin et praliné noisette.











Originaire de Forbac en Moselle, Nicolas Paciello a fait ses premières armes à Metz. Il débute son apprentissage de la haute pâtisserie à Paris, chez Fauchon, sous la direction de Christophe Adam en 2005 avant d'intégrer en 2010 la brigade de l'Hôtel de Crillon où il devient le second du chef pâtissier Jérôme Chaucesse. Un temps adjoint de Benoît Couvrand au sein de la pâtisserie de Cyril Lignac, il rejoint l'équipe du Prince de Galles en 2013 sous la houlette de Yann Couvreur. En janvier 2015, Nicolas Paciello est nommé chef pâtissier de La Réserve puis retrouve le Prince de Galles dès décembre de la même année, prenant la suite de Yann Couvreur. Au cœur de sa création, le souci constant de la gourmandise allie à l'extrême rigueur du luxe, la générosité du goût, la maîtrise des équilibres. Sa pâtisserie est une expérience culinaire d'émotions. La beauté de la forme, la finesse des arômes, les créations de Nicolas Paciello en ont sous le capot ! Le chef vient tout juste de participer aux épreuves de qualifications du concours MOF (meilleur ouvrier de France) et les résultats ne devraient pas tarder.

A l'occasion cette nouvelle fête de Pâques, Nicolas Paciello embrasse les réminiscences gourmandes et les émerveillements de l'enfance. Sa bonbonnière de chocolat, création en trompe-l'œil parée de feuilles d'or et d'argent, se réinvente objet de décoration du plus bel effet. Sous son habit lamé, la coque de chocolat aux éclats de caramel et fleur de sel joue la carte luxe et volupté dans le fondant intense du chocolat à croquer. En son ventre lovée, une sélection de dix-huit bonbons de chocolat, blanc, lait, noir prolonge l'expérience du petit séisme sensuel.










La nouvelle collection de bonbons de chocolat Prince de Galles, disponible en édition limitée au bar Les Heures, s'inspire de la philosophie gourmande du chef pâtissier Nicolas Paciello. Présentée en coffret de quinze bonbons, la gamme se décline en quatre parfums, motifs récurrents de la création du chef. Le sarrasin, bonbon de chocolat noir, très croquant développe des notes torréfiées de sarrasin sur le ton d'une subtile amertume. La vanille, intensément fondante dans sa robe de chocolat blanc, a des rondeurs maternantes. Le matcha, chocolat noir et poudre fine de thé vert, exprime les longueurs raffinées de l'umami. Le praliné noisette, enveloppant chocolat au lait, invoque les jeux de textures, croquant, fondant et pointe de sel. Nicolas Paciello, un chef à suivre !

Hôtel Prince de Galles
33 Avenue George V - Paris 8
Tél : 01 53 23 77 77


A emporter au Bar Les Heures à partir du 28 mars jusqu'au 8 avril
Bonbonnière du Prince de Galles, garnie de 18 bonbons - 125 euros
Coffret 15 bonbons de chocolat - 35 euros



Caroline Hauer, journaliste depuis le début des années 2000, a vécu à Londres, Berlin et Rome. De retour à Paris, son port d’attache, sa ville de prédilection, elle crée en 2011 un site culturel, prémices d’une nouvelle expérience en ligne. Cette première aventure s'achève en 2015. Elle fonde en 2016 le magazine Paris la douce, webzine dédié à la culture. Directrice de la publication, rédactrice en chef et ponctuellement photographe de la revue, elle signe des articles au sujet de l’art, du patrimoine, de la littérature, du théâtre, de la gastronomie.