Je suis amoureuse de ces petits bijoux depuis que j'ai croisé leurs entrelacs strassés pour la première fois dans la collection printemps été 2012 de Sergio Rossi, série Evening Glow. Et j'ai envie de remercier le créateur Francesco Russo directeur artistique de la marque pour savoir si bien me faire rêver avec ce qui reste malgré tout une paire de pompes, n'est-ce pas. On n'évoquera pas les détails qui fâchent - en fait si - comme le prix indécent mais justifié entre autre par le travail minutieux de sertissage. Ca n'est pas très sérieux - euphémisme - de dépasser les 2000 euros pour une paire de sandales.
La version sans les cristaux, beaucoup plus raisonnable - nan j'déconne - frôle les 700. Christian Louboutin ne nous aurait pas habitués à de pareilles exagérations, nous aurions pu croire au passage soudain dans une dimension parallèle - ce qui est un peu le cas finalement, la mode étant une galaxie fort fort lointaine pour le commun des mortels. Afin de me consoler, je me dis qu'elles sont bien trop délicates pour vraiment finir aux pieds de quelqu'un - j'en aurais avalé ma Valda si Rihanna s'était pointée sur un quelconque tapis rouge avec my precious en guise de grolles. Je me contenterai donc de baver devant ces merveilles sans aucun espoir. Beeeeeeeeeeeeeelles !!!
Enregistrer un commentaire