S’il y a une icône de mode susceptible d’influer au delà du raisonnable sur mes pulsions consuméristes, c’est Kate Moss. Soyons clairs, je l’adore ! En utilisant son image, les publicitaires pourraient me vendre à peu près tout et surtout ce dont je ne ressentais pas le besoin. De la lingerie affriolante avec Agent Provocateur alors que je ne jure que par les sous vêtements simplissimes, le rouge à lèvres Dior Addict bien que je n’en porte jamais ou encore le parfum Parisienne d’Yves Saint Laurent et pourtant je suis fidèle à Guerlain –une tradition familiale. D’ailleurs, je ne me remets toujours pas que la marque ait arrêté la diffusion du sulfureux spot dans lequel figurait la Brindille pour le remplacer par celui que l’on peut voir en ce moment sur nos écrans. Je le trouve en comparaison bien banal voire rasoir. Certainement le fait d’une fin de contrat.
Autant vous dire que j’ai frétillé d’aise lorsque j’ai entendu parler de la collaboration autour d’une collection capsule de Kate - voui je l’appelle Kate, c’est ma copine - et du joaillier français Fred dont elle était déjà l’égérie depuis 2005. Afin de créer une ligne qui lui ressemble, les motifs des différents bijoux ont été inspirés par ses propres tatouages. Chacun représente un lien particulier avec des êtres aimés, tous ont une histoire intime.
La demoiselle – comme les actrices, elle sera toujours pour moi, mademoiselle, n’en déplaise à ceux qui souhaite la disparition de ce titre - en porte sept en tout. Quatre dessins de ses encres ont été retenus pour créer les 22 modèles de la collection. L’étoile lovée sur sa cheville droite, le cœur caché au creux de sa paume, l’ancre serpentant sur son poignet et le croissant de lune suffisamment discret pour ne pas avoir été situé.
Discrets également ces bijoux si luxueux aux accents rock et minimalistes. Sur la peau, l’or vit et fait écho à la dimension charnelle des tatouages. Les minces anneaux s’ornent de pierres fines, quartz, rubellites, topazes, tsavorites… Les exquises puces d’oreilles jettent un bref éclat de diamant. Les bijoux sont si fins et délicats que l’envie de les ajouter les uns aux autres en les dépareillant vient naturellement.
Discrets également ces bijoux si luxueux aux accents rock et minimalistes. Sur la peau, l’or vit et fait écho à la dimension charnelle des tatouages. Les minces anneaux s’ornent de pierres fines, quartz, rubellites, topazes, tsavorites… Les exquises puces d’oreilles jettent un bref éclat de diamant. Les bijoux sont si fins et délicats que l’envie de les ajouter les uns aux autres en les dépareillant vient naturellement.
Trois pièces plus imposantes, deux sautoirs et une bague, dans une gamme de prix très différente, rappellent le goût de Kate Moss pour le vintage et les bijoux anciens. Les diamants de la bague secret ont été taillé en rose plutôt que facettés pour en adoucir l’éclat. Elle s’ouvre pour délivrer un message à faire graver.
Le lancement de la collection a eu lieu mardi dernier à l’hôtel Ritz. Elle est désormais disponible dans les boutiques Fred en France et à Tokyo, chez Harrod’s à Londres et sur le site de la griffe. Une petite idée des tarifs : la bague Satellite en or rose quartz rose et rubellite coûte 490 euros, la bague Etoile en or gris pavée de diamants 590 euros, le collier pendentif croissant de lune 490 euros, les puces d’oreilles étoiles or gris pavées de diamants 750 euros, la bague secret or gris pavée de diamant 5 900 euros et apothéose avec le sautoir Cœur or gris diamants et rubis 35 000 euros. Qui veut jouer à l’Euromillions avec moi ? Et surtout partagez-vous mon girl crush pour la divine Kate ?
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