Beauté : Tanda Me Touch SB300, l'appareil d'épilation semi-définitive doté de la technologie Elos alliant lumière pulsée et radiofréquences



Avec le joli soleil qui nous fait l’honneur de sa présence depuis une semaine, on en vient à farfouiller dans sa garde-robe d’été avec une joie non dissimulée. Petites robes et jupes légères nous font de l’œil. Et les gambettes n’ayant pas vu la lumière de l’hiver se dévoilent. Ce qui m’amène aujourd’hui à vous parler d’un sujet qui certes nous préoccupe, nous les femmes, toute l’année mais que les beaux jours mettent particulièrement en évidence, j’ai nommé les poils. Attention, billet glamour et révélations personnelles sans pudeur au programme. Messieurs, ne partez pas, la lutte contre la pilosité vous concerne également, y’a pas de raison, non mais oh !




Prenons un sujet d’étude lambda, on va dire moi par exemple, ce sera plus simple pour la démonstration. Peau claire, poil blond foncé, pilosité modérée mais avec repousse très rapide. Un peu comme pour les cheveux qui poussent à plus de 2cm par mois - je ne vous explique même pas mon budget capilliculteur avec un balayage - j’ai le poil de compét à croire que mon organisme n’a que ça à faire, concentrer tous les nutriments et autres vitamines pour faire pousser du oualp. Il ne pourrait pas se focaliser sur la production de collagène pour que j’ai une peau de jeune fille cet ingrat. Mère Nature truie, quoi. Mon protocole d’éradication de base est différent pour les trois zones principales incriminées.

- Les jambes au rasoir : A la cire, il faudrait que j’aille toutes les semaines chez l’esthéticienne, merci bien. Je ne supporte pas les approximations velues donc rasoir tous les deux jours sous la douche. Comme je ne fais rien comme personne, mon doux pelage n’est absolument pas uniforme et donne plutôt dans la plaque éparse façon freakshow.

- Les aisselles à la pince à épiler : Vous allez me dire, elle est folle celle-là, mais à force ça ne fait plus mal du tout, sans compter qu’au final j’en ai peu de ce côté-ci. Ca me prend environ 10 minutes toutes les semaines. Comme pour les jambes, je ne tolère pas l’approximation mais la peau est trop sensible pour supporter le rasoir.  

- Le maillot à la cire mais à la maison : Pudeur, plus maniaquerie - je déboise très sérieusement la zone façon déforestation, bonjour le ticket de métro - ce serait probablement plus simple en institut mais je suis rarement satisfaite de l’échancrure et franchement me retrouver à quatre pattes en expliquant à une charmante professionnelle qu’il faut aussi attaquer des endroits qu’elle ne soupçonnait pas, relève d’un challenge insurmontable dans mon cas.

Pour les avant-bras, à vrai dire je n’ai pas spécialement besoin d’une quelconque intervention, au pire une simple décoloration suffit d’autant que j’ai renoncé totalement au soleil depuis 5 ans pour en avoir bien trop abusé quand j’avais la vingtaine. Quant au visage, rien à dire de ce côté-là, tout va bien pour le moment. Le vague duvet reste vague duvet même si je crains qu’avec l’âge il finisse tout de même par s’épaissir.  Comme je suis plutôt décomplexée du follicule pileux, je n’avais jamais songé à des méthodes plus radicales.






Mais tout ça, c’était avant. Avant ma rencontre avec les charmantes personnes représentant la gamme Tanda du groupe Syneron. Elles m’ont confiée un appareil miraculeux - enfin miraculeux, surtout bourré de technologie de pointe de la mort qui tue - d’épilation semi-définitive à domicile alliant lumière pulsée et radio-fréquence utilisable sur toutes les zones que j’ai évoquées plus haut, sur tout type de peau même les plus foncées et sur tout type de poil même les plus clairs. Un truc vachement bien en somme. Le Tanda Me Touch SB300 c’est de la bombe bébé. 




Qu’est-ce que c’est, comment ça marche, dans quel état erre-je ? Le Tanda Me Touch ressemble à un appareil d’épilation classique. Il existe deux modèles celui avec la tête flash et rasoir intégré et celui avec tête flash et tête d’épilation intégrée. J’ai testé le second. Gambettes velues et doigts de pieds en éventail, on passe le bidule sur la peau, la tête d’épilation arrache le poil provocant une microgouttelette de sang que la tête de flash vise, inonde d’énergie de lumière intense pulsée et de radiofréquences bipolaires, une combinaison connue sous le nom de technologie Elos. "La lumière pulsée génère une chaleur précise dans le derme pour déclencher le ralentissement de la repousse du poil tandis que les RF aident à conduire l'IPL au plus profond du derme pour une efficacité maximum." Le bulbe est progressivement détruit au cours des séances répétées. Il est recommandé en phase d’attaque pendant les 7 premières semaines, d’utiliser le Tanda Me Touch une fois par semaine même si les poils n’ont pas repoussé de façon flagrante puis une fois par mois voire selon les besoins de chacun. 





J’ai testé la bête essentiellement sur les jambes. La grande surface de flashage permet de ne pas passer des heures à scruter le moindre centimètre carré de peau. 10 minutes max pour chacune. Côté maillot, il faut éviter la proximité des muqueuses, ce qui ne fait pas trop mon affaire donc. Au niveau des aisselles, les miennes sont spécialement étroites et creuses - cherchez pas, encore une blague de Mère Nature. Truie bis - et j’ai surtout réussi à me pincer la peau avec l'épilateur sans provoquer le flash qui ne se lance que lorsque la tête de flash est en contact direct avec l’épiderme. Bref, les aisselles, j’ai loupé le coche dans les grandes largeurs. Que se occurio sur les guibolles ? Les trois premières séances, je les ai effectuées  en mode faible intensité. Puis les 3 suivantes en mode moyenne intensité et les trois suivantes plus espacées en mode forte intensité.   




En mode faible intensité, la repousse est déjà bien ralentie. Les candidats à l’arrachage sur les 3 premières séances étant surtout des petits malins qui n’avaient pas encore pointé leur nez. En mode intensité moyenne, ça picote un peu mais ça ne fait pas plus mal qu’une épilation avec un appareil électrique classique. Au bout de six semaines, la différence est flagrante. Les rares poils intrépides a encore se montrer sont beaucoup plus fins. J’aurais pu m’arrêter dans la progression de puissance des flashs mais j’ai voulu testé le mode forte intensité. Bon. Là, ça pique franchement mais d’une part, je suis fort fort douillette et d’autre part j’ai la peau sensible voire réactive, ceci expliquant peut-être cela. J’appelle cette phase, la phase désertification. Malgré ma propension à générer des kilomètres de poil - ouais suis au top de la glam attitude - ainsi que mes TOC concernant la repousse, il a fallu un bon mois avant que la toison d’or  n’ose refaire un passage éclair sur mes gambettes.


Peau claires à foncées, poils blonds roux à noirs, Tanda Me Touch est indiqué pour tout type d’épiderme et de pilosité, hommes et femmes, pour chaque zone en dehors de celles trop proches des muqueuses dont le réseau  de vaisseaux sanguins est particulièrement fragile (parties génitales, nez.) Pour ces messieurs cependant, système hormonal différent oblige, il faut éviter une utilisation sur le visage. 




L’un des grands avantages du Tanda Me Touch par rapport aux concurrents, c’est la tête flash remplaçable. La tête d’origine du modèle SB300 permet de lancer jusqu’à 120 000 flashs, c'est-à-dire au moins 5 ans d’utilisation. Et une fois la cartouche épuisée, au lieu de tout jeter, il suffit d’aller en racheter une pour un prix tout à fait raisonnable. En outre, la gamme d’épilation Tanda propose un Contrat Me 100% réussite. Si au bout de deux mois à compter du jour d’achat vous n’êtes pas satisfait, votre achat est remboursé à 100%.

A ceux que le prix pourrait effrayer, je note tout de même qu’à long terme cet appareil est très avantageux par rapport aux techniques classiques d’éradication en institut et surtout beaucoup moins cher que les séances chez le dermato que ce soit lumière pulsée ou laser. Le laser bien que s’affirmant comme une méthode définitive nécessite des retouches régulières et annuelles voire biannuelles au-delà des 7 séances d’attaque tournant autour de 100 euro l’une. Et c’est là que la cartouche remplaçable de la gamme Tanda marque des points par exemple. Trois de mes amies ont acheté le Tanda Me Touch SB300 ensemble pour faire des économies partageant le même appareil. Astuce plutôt maline à mon sens et très rentable.

Bref, je suis plus que séduite. Et je vais arborer des gambettes impeccables tout l’été. Hé hé. Alors que vous semble ? Le Tanda Me Touch est-il aussi séduisant que ses résultats ?

Tanda Me Touch SB300 - Appareil d'épilation semi-définitive
www.tanda.fr/
Toutes les explications  : www.tanda.fr